Comprendre le métier de promoteur immobilier

Un promoteur immobilier est un agent économique qui construit des bâtiments qui seront par la suite mis en vente. Le promoteur peut être une personne physique ou une personne morale. En France, plus particulièrement dans le Pays Basque, on retrouve plusieurs sociétés de promotion immobilières réunissant plusieurs promoteurs. En plus de réaliser une construction donnée, en tant qu’agent économique, un promoteur immobilier supporte également les charges financières liées au projet. Le promoteur immobilier est donc un maître d’ouvrage. Il est à la fois initiateur, contrôleur, pilote et bénéficiaire du projet. Il est toutefois utile de faire remarquer que même si un promoteur immobilier est nécessairement un maître d’ouvrage, le contraire n’est pas toujours vrai.
Plusieurs missions sont attribuées au promoteur immobilier. Il doit d’abord trouver des terrains pour y réaliser une construction donnée. Mais, trouver un grand espace ne suffit pas, il doit aussi évaluer la faisabilité du projet, son opportunité et surtout trouver des partenaires de confiance qui voudront financer le projet en question. Une fois ces éléments rassemblés, le promoteur immobilier se chargera également d’effectuer toutes les démarches administratives auprès des personnes publiques responsables, notamment du permis de construire et des assurances liées aux risques de la construction.
Les promoteurs comme www.amodia.fr, un promoteur immobilier au Pays Basque confient généralement la construction d’un chantier à des sociétés spécialisées dans les travaux et construction de bâtiments. Ils vérifient par la suite le professionnalisme de ces dernières. Une fois cette étape réalisée, l’architecte se charge de contrôler les travaux, notamment leur exécution par rapport aux prescriptions légales et contractuelles ainsi que les réserves qui ont été émises par l’entreprise au moment de la réception définitive des travaux. Dans sa mission, le promoteur immobilier est tenu de respecter les dispositions légales et réglementaires. Par conséquent, il ne peut pas construire des bâtiments qui n’ont pas reçu d’autorisation.
Une fois la réception définitive effectuée, et les réserves levées, le promoteur immobilier se chargera de livrer les logements (appartements ou maisons) aux différents acheteurs. Pour trouver des acheteurs, le promoteur immobilier devra définir une stratégie commerciale efficace. Pour cela, il devra nécessairement passer par un réseau d’agents immobiliers ou de prescripteurs. En général, le promoteur immobilier vend l’appartement ou la maison avant même que le bien ne soit véritablement construit. On appelle cela la « vente en l’état futur d’achèvement » (VEFA), ou encore vente sur plan.
Pour devenir un promoteur immobilier, il faut des compétences variées notamment en matière de BTP, de droit, d’architecture, mais également de commercialisation. En plus des compétences techniques, un promoteur immobilier se doit d’être rigoureux et méthodique. Il doit savoir répondre aux exigences de ses clients et ne rien laisser au hasard.

Promoteur immobilier, quid de son statut juridique ?

L’article 1831-1 du Code civil définit le statut des promoteurs immobiliers. Selon cet article, le contrat passé entre un promoteur immobilier et son client équivaut à un contrat de mandat. Ainsi, le promoteur immobilier deviendra un maître d’ouvrage qui sera chargé de faire construire le bâtiment à ses risques et péril et revendra ensuite le bien à son acquéreur. Juridiquement, comme il construit dans le but de revendre, un promoteur immobilier est assimilé à un maître d’ouvrage délégué. Mais il est également un prestataire de service, car à chaque vente, il est payé suivant des honoraires.

Pourquoi faut-il faire appel à un promoteur immobilier ?

En tant que maître d’ouvrage délégué, le promoteur immobilier maîtrise en totalité les opérations de construction d’immobilier neuf. Il devient ainsi le seul interlocuteur du client dans la conception et la réalisation du projet. Ce qui est bien, c’est que l’acquéreur n’a pas à s’inquiéter des démarches obligatoires à la réalisation de la construction. Une fois l’appartement ou la maison construit, il aura uniquement à payer le prix et on lui donne les clés. De plus, en tant que professionnel expérimenté, le promoteur connait bien le marché de l’immobilier et peut évaluer au préalable si un projet immobilier sur la Côte Basque, à Bayonne, à Biarritz, à Anglet ou dans les Landes est faisable, viable, et surtout rentable.
Toutefois, comme tous les métiers, celui de promoteur immobilier n’est pas parfait. En effet, comme il a été dit précédemment, les promoteurs vendent généralement des appartements et maisons en VEFA. La vente à l’état futur d’achèvement est strictement encadrée par la loi. A cet effet, ils doivent respecter une norme standardisée. Par conséquent, le client acquéreur ne pourra pas personnaliser sa construction.
De plus, étant donné que le bien ne sera acquis que plus tard, des aléas peuvent survenir et il est possible qu’il y ait du retard dans la livraison du bien, sans que le cocontractant puisse faire quoi que ce soit. Il ne pourra actionner aucune disposition du contrat, car ce dernier ne stipule pas le moment exact de la fin des travaux.
Enfin, il existe des promoteurs qui omettent de souscrire des garanties au moment de la construction, ce qui peut léser le client. Choisir un promoteur de confiance est donc nécessaire. Il ne faut pas se laisser tenter par un promoteur immobilier qui propose des prix très bas. Le mieux serait de passer par une entreprise de promotion immobilière qui regroupe toujours des professionnels en la matière.
Mais quoi que l’on puisse penser, un promoteur immobilier, même s’il n’est pas indispensable, est un allié de taille dans l’acquisition d’une construction. Grâce à eux, de nombreux nouveaux quartiers ont commencé à se former. Ces derniers temps, on assiste même à une certaine émergence des écoquartiers, de nouvelles villes. Bien sûr, le promoteur immobilier ne fait pas une œuvre de charité. Une société privée poursuit nécessairement un but lucratif. Son but étant de maximiser les mises qu’il a au préalable investies pour faire construire le bien immobilier neuf. Certains promoteurs axent souvent leur mission vers cette maximisation, et c’est le résultat qui en pâtit (mauvaise construction, non-respect des délais, défiguration de l’environnement, construction sans infrastructure, projet mal étudié…). Ces cas ont tendance à donner une mauvaise réputation aux promoteurs immobiliers. Pourtant, si certains n’œuvrent que pour gagner de l’argent, d’autres prennent véritablement la peine de réaliser un travail de qualité.

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Google Alert

L’outil le plus simple est Google Alert. Il vous suffit de préciser les informations que vous souhaitez recevoir en temps réel comme les nouveaux produits de vos concurrents, les tendances des consommateurs, etc.

Website Watcher Pro

Tous les outils pour recueillir ou encore gérer des informations sont payants. Avant de penser au prix, focalisez-vous plutôt sur les fonctionnalités et les spécificités de chaque outil. Le Website Watcher Pro par exemple permet de surveiller plusieurs sites à la fois sans avoir à jongler sur Internet. Un navigateur web est mis à votre disposition sur l’interface du logiciel pour visualiser chaque changement repéré sur les sites surveillés. Cet outil est conseillé surtout pour observer les activités de vos concurrents.

Copernic Agent Professional

C’est avant tout un outil d’analyse et de tri pour trouver des informations précises. Vous pouvez effectuer une recherche dans plus de 1 000 moteurs de recherche à la fois. Cet outil trie tous les résultats obtenus, les analyse et les regroupe par catégorie. Il affiche ensuite chaque catégorisation avec résumé pour trouver des informations les plus performantes. Cet outil est également disponible en version mobile.

My Twip de Coexel

My Twip de Coexel permet de rechercher et filtrer des informations par thème et par secteur. Vous pouvez utiliser plusieurs filtres à la fois comme le format des textes (pdf par exemple), leurs catégories (actualités ou brevets par exemple). Il est par ailleurs possible de filtrer les recherches par des mots-clés ou une analyse individuelle.

Spotter

Spotter est spécialisé permet d’extraire des informations provenant des réseaux sociaux, des blogs et des forums afin d’analyser les besoins et les attentes des consommateurs. Spotter est également un outil d’alertes personnalisées pour suivre en temps réel les tendances d’achat et de vente sur le marché.

Privilégier les demi-grossistes

Faites vos courses auprès des demi-grossistes et des semi-grossistes. Dans ce type de commerce, au-delà d’une certaine quantité, vous avez droit à des tarifs préférentiels. Si vous avez peur d’acheter du volume, sachez que cela constitue une forme de provision pour vous.

Les comparaisons

Un bon gestionnaire ne se sépare jamais d’une machine à calculer. Lorsque vous êtes face aux fameux « formats économiques », comparez toujours avec les formats simples. De plus, comparez les prix d’un établissement à l’autre. Oui, faire des économiques est particulièrement chronophages, surtout, si l’on ne souhaite pas acheter les articles moyens ou en entrée de gamme.

Faire tout soi-même

Chaque fois que vous le pouvez, faites tout vous-même. Faire la cuisine évidemment fait partie intégrante de cette consigne. Un ou deux restaurants par mois suffisent. Le reste de vos repas, vous les préparez vous-même sauf si vous avez des tickets restaurants. Et même dans ce cas, ne dépassez pas le plafond. Enfin, le recyclage s’impose : il faut savoir donner une seconde vie à vos affaires et à celles que vous recevrez.

Les bons plans

Les offres promotionnelles ne manquent pas, quel que soit le domaine. Sur le site nospromos.com par exemple, vous pouvez dénicher moult codes promotionnels, des bons de réduction et des codes de réduction. Les bons plans ce sont également des friperies, les dégriffes ainsi que les magasins d’usine, sans compter les ventes privées et vides greniers.

Les sources d’informations internes

Les informations nécessaires pour attirer le plus de prospects et les convertir en clients peuvent se trouver au sein même de votre entreprise ou magasin. Il y a d’abord les prévisions de ventes. Des calculs simples de mathématiques et de statistiques sur l’évolution de la vente au cours des années, des mois et des semaines. Il est également possible de se baser sur les demandes et réclamations des clients pour mesurer l’intérêt et la satisfaction du client vis-à-vis des produits de l’entreprise. Ensuite, il faut faire bon usage du fichier client qui est préalablement rempli avec l’aide d’un commercial. Enfin, il y a les rapports des commerciaux sur les ventes réalisées, les besoins et les attentes des clients.

Les sources d’informations externes

Il y a avant tout les fichiers de prospection qualifiés. On peut les acheter ou les louer. Les fichiers peuvent être plus globaux ou bien ciblés. Les données fournies peuvent différencier d’un fichier à un autre et tout est basé sur le coût. Un fichier bien renseigné coûte toujours plus cher. Néanmoins, il contient tous les critères qui qualifient chaque prospect. Les médias comme la presse, les magazines et la télévision sont également une grande source d’informations sur l’état du marché, les attentes des clients et le niveau de la concurrence. Les événements comme les grands salons permettent également de repérer des clients et le niveau de concurrence. Celui-ci se découvre aussi par le biais d’une recherche directe sur internet par exemple.

L’Union Fédérale des Consommateurs : Qui sont-ils ?

L’Union Fédérale des Consommateurs-Que Choisir ou UFC-Que Choisir a été créée en 1951. À noter d’ailleurs qu’il s’agit de la plus ancienne association de consommateurs en Europe. Elle vise à promouvoir les actions individuelles ou collectives des consommateurs et la défense de leur intérêt. Concrètement, elle accompagne les consommateurs dans leur initiative visant à améliorer leur condition de vie.

Depuis sa création, l’UFC-Que Choisir a réussi à apporter d’importants changements dans le secteur économique français. Elle se trouve entre autres à l’origine de la facturation à la seconde dans la téléphonie et de la carte interactive de la couverture réelle de l’internet mobile en France.

En 2013, elle a permis à 71.000 ménages d’économiser 194 euros par an sur leur facture de gaz. Enfin, il faut noter que l’UFC-Que Choisir a tenu tête au secteur bancaire en 2013 pour obtenir le maintien de la gratuité des chèques.

Les enjeux de la défense du consommateur

Les entités comme UFC-Que Choisir se révèlent nécessaires au système économique, car elles permettent aux consommateurs de se regrouper pour faire entendre leur besoin et leur revendication vis-à-vis des pratiques des opérateurs commerciaux. Elles les aident à faire pression sur le gouvernement pour obtenir justice en cas de litige face à un opérateur. Grâce à elles, les consommateurs peuvent également jouer le rôle de garde-fou en dénonçant les dérives de certains opérateurs.

Enfin, elles forment les consommateurs à devenir de « bons consommateurs ». En d’autres termes, elles les aident à trouver les meilleures affaires et à développer leur pouvoir d’achat.

Un opérateur de taille

Lors de son arrivée en France, Amazon était présenté comme un outsider face notamment à PriceMinister qui dominait alors le marché. L’arrivée d’Amazon en France coïncide cependant avec une véritable refonte de son modèle économique. Désormais, le groupe a élargi ses articles au-delà des simples livres.

Amazon ambitionne de devenir un « hypermarché » virtuel sur lequel les internautes peuvent acheter divers types d’articles. Grâce à cette nouvelle stratégie, le groupe va vite s’imposer en France comme la référence en matière d’e-commerce. Aujourd’hui, Amazon se lance dans deux nouveaux secteurs à savoir celui de l’alimentaire et du smartphone. À l’aide de son modèle marketing, le groupe risque également de chambouler ces deux secteurs pour devenir la nouvelle référence.

Les polémiques

Si Amazon a réussi à s’imposer comme la référence en matière d’e-commerce en France, le chemin vers le succès n’a pas été sans embuche. Dès son arrivée sur le marché, le groupe a été accusé de « saboter » les activités de ses concurrents. Selon, Pierre Kosciusko-Morizet, co-fondateur de PriceMinister, Amazon envoyait ses salariés acheter les produits de ses concurrents dans le but de récupérer les coordonnées de leur fournisseur.

Le groupe a également défrayé la chronique en tentant de racheter ses principaux concurrents dans le but de profiter du monopole sur le marché. Cependant, le plus gros scandale lié à l’arrivée d’Amazon en France correspond à celui des conditions de travail. Le groupe surveille ses salariés afin de booster leur rendement, il impose des pénalités en cas d’arrêt maladie et il offre rarement de postes en CDI.

Parfums, maquillage et soins

Du côté des parfums, la fragrance « La vie est belle » de Lancôme arrive en tête. Elle est suivie par « Poison Girl » de Dior et par « Lady Million » de Paco Rabanne. Du côté des produits dédiés au maquillage, la palette de fards à paupières « Chocolate Bon Bons » de Too Face domine les ventes. Les deux autres marches du podium sont également occupées par des produits Too Faced. La deuxième revient au fond de teint « Born this way » tandis que le rouge à lèvres liquéfiées « Melted Chocolate » occupe la troisième place.

Il est intéressant de noter que la palette de maquillage « Naked 2 » d’Urban Decay a également réussi à se hisser à la troisième place de ce classement. Finalement, du côté des soins, le système de nettoyage de la peau « MIA2 » de Clarisonic domine le marché. Il est talonné par le complexe de réparation synchronisée « Advanced Night Repair » d’Estée Lauder. À la troisième place, on retrouve le masque nuit de Sephora.

Corps, bains, cheveux et soins homme

La marque Sephora domine le marché Corps&Bain avec trois produits phares : le cube effervescent, la capsule de crème de douche et la crème douche. Du côté des articles pour les cheveux, on retrouve la brosse démêlante « Tangle Teezer Original » de Tangle Teezer en première place. Vient ensuite l’élastique à cheveux invisible d’Invisibobble.

Le masque régénérant à l’huile rare de figue de Barbarie de Christophe Robin clôture le podium. Enfin, du côté des articles pour homme, l’eau de Cologne « Fierce » d’Abercrombie & Fitch arrive en tête, suivi par le coffret de soins « Ma Belle Gueule j’en prends soin » de Sephora et l’eau de toilette « Déclaration » de Cartier.

Les conseils pour réussir

Pour que votre entreprise soit un succès, vous devez consacrer un temps conséquent à sa préparation. Durant cette phase, identifiez vos objectifs et faites un bilan de votre situation. En fonction de ces informations, vous pourrez déterminer quel type de magasin vous allez ouvrir. Si vous n’avez que peu de connaissances en jeu vidéo, il peut être plus intéressant de vous tourner vers un magasin généraliste qui propose divers articles multimédias.

En revanche, si vous avez une connaissance approfondie du jeu vidéo, vous pouvez vous positionner sur un marché de niche comme la vente de console, la vente d’ordinateurs et de composants informatiques ou de box collector. Durant la préparation de votre projet, tentez aussi d’évaluer le potentiel de votre région. S’il existe au moins un autre magasin spécialisé dans un rayon de 200 m, la concurrence peut se révéler rude. D’ailleurs, si vous comptez faire appel à la banque pour trouver un investissement de départ, vous risquez de vous retrouver face à un mur. Les banques n’investiront pas dans une affaire avec un tel taux de risque. Enfin, n’oubliez pas de vous projeter dans le futur par rapport à votre situation financière. Quel doit être votre rendement pour être rentable ? Pourrez-vous faire face à des périodes de crise ? Combien d’employés pourrez-vous engager ?

Les pièges à éviter

Votre pire ennemi reste l’impatience. Prenez toujours le temps d’analyser chaque situation pour prendre la meilleure décision. Investir dans une activité professionnelle aussi volatile que la vente nécessite du calme et de la réflexion.

Enfin, n’oubliez pas de vous assurer une visibilité en ligne pour booster votre activité. N’oubliez pas que votre clientèle passe beaucoup de temps sur le web. Il faut ainsi le chercher directement sur ce support.

Le top 5

Comme dit précédemment, Renault a réalisé une excellente année 2015. Le constructeur doit sa réussite à son modèle phare, la Clio IV. Cette dernière arrive en tête des voitures les plus vendues en France en 2015 avec 108.408 unités. A la deuxième et la troisième place, Peugeot réussit à positionner ses deux citadines à savoir la 208 et la 308 II. La 208 s’est vendue à 90 397 unités tandis que 75.474 de la 308 II ont été vendues en 2015.

À la quatrième place de ce classement, on retrouve une Renault. La Captur s’est écoulée à 72.191 unités lors de l’exercice 2015. Peugeot termine cette première moitié du top 10 avec sa 2008. Elle s’est vendue à 63 204 unités au cours de l’exercice 2015 grâce en partie à sa robustesse.

Le reste du top 10

La Citroën C3 II occupe la sixième place avec 56.382 unités vendues en 2015. Il est intéressant que le redesign de ce modèle constitue son principal atout. À la septième place, on retrouve Renault avec sa Scénic III qui a séduit les familles par son confort et son habitacle. Elle s’est écoulée à 46.662 unités durant l’année 2015. Elle est suivie de près par deux autres Renault, la Twingo III et la Dacia Sandero.

La première s’est vendue à 45.328 unités tandis que la deuxième s’est écoulée à 45.264 unités. La Citroën C4 II Picasso termine le top 10 avec 44.608 unités vendues en France en 2015.